Paris, le 27 mars 2003
Cher Jean-Michel,
J’ai immédiatement prévenu Louiza de ta demande de suspension de peine. Elle a aussi reçu la lettre que tu lui a fait parvenir. Tu auras sûrement de ses nouvelles rapidement.
Je sais que ta situation n’est pas facile et j’espère que ta santé ne te joue pas trop de tours.
Saches que quoi qu’il arrive, nous restons et resterons à tes côtés.
Nous continuons à collecter des signatures pour ta libération et espérons que cela t’aidera dans tes démarches.
A bientôt,
Très amicalement,
Charlotte