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(2005) Prévention du suicide

Mise en ligne : 12 septembre 2005

Texte de l'article :

PRÉVENTION DU SUICIDE

Félicitations à Anne Chemin du Monde pour son reportage concernant le suicide des jeunes et des homosexuels en particulier, le site Doctissimo. fr sous la plume d’Alain Sousa nous renseigne aussi sur une étude réalisée à Lyon et à Saint-Étienne sur des suicides.

L¹amalgame réalisé par les médecins entre les antidépresseurs et les
anxiolytiques est tout à fait fallacieux, en effet il faut savoir que les
antidépresseurs sont habituellement prescrits en cocktail avec des
tranquillisants ou des somnifères.

Si les antidépresseurs sont le plus souvent inefficaces lorsque le patient est suicidaire, dépressif, voire psychotique, par contre les anxiolytiques " tranquillisants ou somnifères " de la classe des benzodiazépines (Lexomil, Valium, Rohypnol, LysanxiaŠ) et apparentés (StilnoxŠ) FAVORISENT LE PASSAGE À L’ACTE SUICIDAIRE.

Cet effet pour le moins indésirable figure à ma demande dans le R.C.P. depuis décembre 1999 (suite aux centaines de témoignages reçus à l’AAAVAM), et dans le dictionnaire Vidal des médecins depuis juin 2000, également et de manière ambiguë dans les notices !

Pour ce qui concerne l’expert judiciaire et Pr. Debout, chef de file de la " prévention du suicide " cité de nombreuses fois par Doctissimo, il se refuse à admettre la responsabilité des anxiolytiques comme facteur déclenchant de la plupart des passages à l’acte suicidaire. Il est évident que si les médecins reconnaissaient la dangerosité des benzodiazépines, ils endosseraient la responsabilité de centaines de milliers de morts depuis la mise sur le marché du Valium.

D’autres psychiatres experts judiciaires comme Daniel Zagury, admettent avec intelligence que les médicaments psychotropes de la classe des benzodiazépines favorisent le passage à l’acte suicidaire. Par contre, ils considèrent que les victimes étant prédisposées, le médicament n’est pas responsable du passage à l’acte ! Cette position en faveur des autorités sanitaires et des multinationales de la pharmacie permet au génocide de continuer.

Conclusion, c’est grâce à quelques médecins experts judiciaires pervertis que des milliers de suicides peuvent se réaliser en France chaque année, la justice restant sans pouvoir. Je pense qu’il s’agit pour l’état de faire disparaître bon nombre de malades mentaux pour certaine emprisonnés après des actes commis en association avec ces pilules, cette programmation permet aussi d’éliminer discrètement certains groupes de population.

En raison des sanctions pénales et imprescriptibles encourues par ces pourvoyeurs de mort, avec l’aide des rapports et déclarations de nombreux professeurs de psychiatrie et de médecine appuyant depuis bientôt 14 ans mon combat, j’espère un jour faire cesser cette hécatombe que représentent les 14.000 suicides annuels en France (dissimulation admise de l¹ordre de 20 %).

Georges Alexandre Imbert
AAAVAM
10, Rue de la Paix
75002 Paris
Tél. : 01 41 10 87 00
www.aaavam.com