Suite à deux cambriolages, Berthet se retrouve incarcéré pour une bonne dizaine d’années(qu’il parviendra à réduire de moitié pour bonne conduite).
Derrière les barreaux, le jeune homme se re-découvre une passion pour la bande dessinée, ce qui lui permet de s’évader symboliquement de sa cellule étriquée.
De son œil malin, le dessinateur observe et retranscrit avec un humour irrésistible le quotidien des prisonniers : détenus psychopathes, repas infects, hygiène douteuse et rapports houleux...
À travers ces tranches de vie d’une mordante sincérité, les cases de Berthet deviennent une fenêtre ouverte sur l’univers carcéral.