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Václav Havel emprisonné de 1979 à 1982 donne une leçon de RESISTANCE face à l’oppression du régime de l’ex-Tchécoslovaquie. Comment en sortir indemne ? D’images en images et de lettre en lettre, ce spectacle nous fait entrer dans l’univers mental et intime du prisonnier : sur Olga sa compagne, sur le théâtre…. Témoin de ses états d’âmes et préoccupations existentielles, le spectateur assiste aux aventures spirituelles issues du malheur de la détention et destinées à la sublimer et à bâtir un monde d’une extraordinaire liberté.
Emprisonnée à vie pour un quadruple meurtre après un procès où elle ne s’est pas défendue, elle demande l’assistance spirituelle d’une "bonne soeur"...C’est un prêtre qui se présente. Après le temps de l’hostilité et du rejet, vient celui de la complicité puis celui de l’attachement. Trois ans après viendra enfin le temps de la confession, confession indispensable pour accepter de continuer de vivre.
En 1891, Wilde entame une relation avec un étudiant d’Oxford, Bosie, fils du Marquis de Queensberry. Le père, désireux de voir son nom réapparaître dans les journaux se pose en défenseur de la pureté et de la moralité, et provoque un scandale public.Wilde est condamné à 2 ans de travaux forçés.
Il survivra à cette épreuve grâce au De Profundis, la longue lettre qu’il écrit lors de son incarcération, et au sentiment d’humanité qu’il découvre en prison. C’est le cri d’amour et de tolérance qu’il lance dans le silence pour rester un homme et retrouver le chemin de la lumière.
Dans ce spectacle sur l’amour, la réparation, la capacité d’aimer au delà de la Souffrance et de la trahison, Wilde nous transmet un message d’espoir et de tendresse.
Louise, mère à quinze ans, bat et cogne sa fille jusqu’aux frontières de la mort. Louise en prison se mure dans son silence. Mais les mots vrillent en elle - échos de ses multiples brisures. Seule, elle se raconte sa vie qui rebondit en elle, comme son enfance volée. C’est l’histoire de Louise, victime devenue bourreau - poète devenu monstre...
"Un verbe superbe qui mérite une audience nationale..." L’Union
"Il faut aller écouter chanter la neige..." La Provence
"Un texte dense servi avec intensité et talent..." La Voix du Nord
Une femme emprisonnée depuis seize ans. Elle sort demain. Ultime nuit de captivité où elle joue son "dedans", campe les personnages de sa réalité, noircit les blancs de sa vie de ses peurs intimement mêlées d’espoirs ; Depuis le temps qu’elle imagine ses évasions, comment sourire à sa liberté lorsque le sas va s’ouvrir ? Dans une mise en scène cinématographique, la comédienne, sur le fil tendu, fait vibrer ce magnifique texte de Michel Azama , tissé de voix de femmes : un moment magique…
CRETEIL : Manifestation le jeudi 23 juillet 2009 à 10h00 devant le Palais de Justice
Le 23 juillet 2009, il y aura une manifestation organisée par la famille devant le Palais de Justice de Créteil pour connaître la vérité sur la mort de Marlon GOODWIN décédé le 11 juillet 2009 à 8h au quartier disciplinaire de la prison de Fresnes.
Il avait 32 ans, il était père de famille et il était libérable en août.
Le corps de Marlon se trouve toujours à l’Institut Médico Légal de Paris en attente d’une contre autopsie. Jusqu’à ce jour, le Procureur de Créteil n’a pas encore communiqué le pré rapport d’autopsie.
Jeudi 23 juillet, à 19 h, Esquisses apéritives, au jardin des Compagnons. Cette lecture sera suivie à 21 h 30, des Esquisses tréteaux avec la pièce La Nonna (entrée 5 €).
Aux Esquisses d’été, à La Roche, les détenus de la prison ont la parole
« C’est une soirée événement ! », annonce Laurent Brethome, le directeur artistique de la compagnie du Menteur volontaire. Au festival des Esquisses d’été, jeudi, des comédiens et peut-être des détenus liront des textes de prisonniers de la maison d’arrêt yonnaise. Cela s’intitule « Machine à rêves… ? ». Alain Gintzburger, comédien, metteur en scène, auteur dramatique, a travaillé à la maison d’arrêt de janvier à mars. Il a encadré pour Le menteur volontaire un atelier d’écriture en lien étroit avec le thème du festival : Latines amériques ou le réalisme magique . Laurent Brethome a lui aussi dirigé des ateliers en milieu carcéral à Lyon, Saint-Étienne, à Villefranche-sur-Saône, ou encore à La Roche-sur-Yon. Il en est convaincu : « Pour ceux qui ont participé à ces ateliers, c’est un moyen de traduire leurs rêves. Ils m’ont dit que cela leur faisait du bien d’écrire, car il y a des choses qu’on ne peut pas traduire par la parole quand on est deux ou trois par cellule. La prison n’est pas l’endroit prédestiné pour rêver. On leur propose de s’évader par le texte. Pour moi, ces rencontres ont été formidablement humaines. » Des prisonniers exceptionnellement de sortie ou qui viennent d’être libérés pourraient venir lire leurs textes avec les comédiens Vincent Bouyé, Jérémy Lopez et Antoinette Herniotte. Cette lecture sera retransmise en direct sur Graffiti Urban Radio « pour qu’il soit possible aux détenus eux-mêmes de l’écouter ».
Emission : L’enfer des prisons - Documentaire (Société)
Groupe Multiprofessionnel des Prisons
18 rue de la Poste
9425O Gentilly
Tel : 01 48 38 76 84
Email : antoine.lazarus.gmp@gmail.com,
La prochaine réunion du GMP aura lieu le Mardi 7 juillet 2009
Début 19 h - 22h30 fin
Maison des sciences de l’homme 52-54 Bd Raspail 75006 Paris (En face de l’Hôtel Lutétia ; Métro Sèvres Babylone et Saint Placide)
Première partie : Échange-discussion des informations depuis le mois dernier,
Deuxième partie :
Par une équipe de Médecins du Monde revenant de mission
Les prisons à Madagascar
Pour le GMP, Antoine Lazarus
Comme d’habitude, toutes les personnes intéressées sont invitées.
Merci de bien vouloir diffuser cette invitation, autour de vous, notamment à ceux et celles qui n’ont pas d’adresse électronique et que nous ne pouvons pas joindre
Prochaines réunions en 2009
Chaque premier mardi du mois sauf au mois d’août à l’adresse habituelle
Mardi 7 juillet 2009
dimanche 5 juillet à 14 h 00, Grande Salle
rediffusion mardi 07 juillet à 22h15, Grande Salle
"Le Cercle des noyés" est le nom donné aux détenus politiques noirs en Mauritanie, enfermés à partir de 1987 dans l’ancien fort colonial de Oualata. Ce film donne à découvrir le délicat travail de mémoire livré par l’un de ces anciens détenus qui se souvient de son histoire et de celle de ses compagnons. En écho, les lieux de leur enfermement se succèdent dans leur nudité, dépouillés des traces de ce passé.
dimanche 5 juillet à 14 h 00, Grande Salle
rediffusion mardi 07 juillet à 22h15, Grande Salle
"Le Cercle des noyés" est le nom donné aux détenus politiques noirs en Mauritanie, enfermés à partir de 1987 dans l’ancien fort colonial de Oualata. Ce film donne à découvrir le délicat travail de mémoire livré par l’un de ces anciens détenus qui se souvient de son histoire et de celle de ses compagnons. En écho, les lieux de leur enfermement se succèdent dans leur nudité, dépouillés des traces de ce passé.
Prison : toujours plus
Salle Polyvalente
Janvier 2000. Le livre de Véronique Vasseur, Médecin chef à la prison de la santé jette un pavé dans la mare et attire l’attention du public sur les conditions de détention en France. La publication de ce livre déclenche deux commissions d’enquête parlementaire et l’État paraît décidé à traiter ce problème.
10 ans plus tard, le bilan est plus que désastreux : carcéralisation du soin psychiatrique, privatisation des prisons, inflation sécuritaire des politiques pénales et surpopulation carcérale. Avec un taux d’occupation de 120 à 200% et des conditions de détention qui ne respectent pas la dignité humaine, les prisons françaises sont dénoncées par le Conseil de l’Europe. Analyse des dérives et des enjeux du système pénitentiaire.
Le débat « Prison : toujours plus » est organisé en partenariat de l’Observatoire International des Prisons (OIP).
Les intervenants :
Gabriel Mouesca, Président de l’OIP
Céline Verzeletti, Secrétaire générale de la CGT Pénitenciaire
Comment tenter de se reconstruire, de se donner une chance, quand la prison reproduit entre ses murs les inégalités du monde extérieur ?
C’est à cette question que tentent de répondre Abdel, Jean, Léopold et Charly. À cœur ouvert, ces quatre détenus nous racontent leur enfermement. Ils font le constat de la réalité carcérale : l’addiction aux drogues, les souffrances familiales, la violence exacerbée, la discrimination. Ont-ils une chance de s’en sortir ?
Ce documentaire dénonce sans détour les dysfonctionnements de nos prisons républicaines. Construit autour de témoignages sensibles, d’images d’archives semblant surgir d’un autre siècle, de reconstitutions fidèles et d’intervenants à la légitimité incontestable, La Honte de la République propose un état des lieux saisissant des conditions de détentions en France aujourd’hui.
Dans la petite maison de l’association Ti-Tomm, accolée au mur dela prison des hommes de Rennes, on attend l’heure du parloir. Les familles arrivent à l’avance, toujours. Quelques secondes de retard, et la porte de la prison restera fermée. On vient une, deux, trois fois par semaine, chaque semaine, pendant des mois voire des années. Ce sont majoritairement des femmes, ces pénélopes des temps modernes qui vivent au rythme de leur homme à l’ombre.
En faisant le choix de rester "à côté" de la prison - du côté des familles - le film propose paradoxalement une approche éminemment frontale de ce qu’est la réalité carcérale.