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Festival "Ombres & Lumières" à l’abbaye-prison de Clairvaux
Du 25 au 27 septembre 209
C’est dans le respect de l’histoire singulière du lieu que s’est bâti le projet artistique du Festival de Clairvaux, organisé par l’Association Renaissance de l’Abbaye de Clairvaux : Ombres de l’enfermement et Lumières de la spiritualité monastique.
Pour la sixième édition, dans cette même recherche de sens, les lignes de force de la saison sont les suivantes :
« MA PREMIERE NUIT EN PRISON »
« MA DERNIERE NUIT EN PRISON »
Une nouvelle série sur Radio Nova et Le Monde.fr signée Joseph Beauregard
RADIO NOVA et Le Monde.fr diffuseront sur deux semaines, du lundi 14 au vendredi 25 septembre 2009, une nouvelle série sonore intitulée “Ma première nuit en prison”/”Ma dernière nuit en prison”, une collection de 10 témoignages donnant à entendre la voix de 5 anciens détenus (4 hommes et une femme) qui se souviennent de ces deux nuits pas comme les autres. Tous ont des souvenirs âpres ou inattendus marqués au fer rouge par cette première nuit initiatique et cette dernière nuit où l’espoir, mais aussi la crainte, la déchirure, sont exacerbés. Et toutes ces nuits dialoguent les unes avec les autres : adaptation et survie en milieu hostile, souffrance et fraternité, solidarité et vieillissement…
Des histoires fortes, des témoins francs et sincères - une mosaïque sans fard sur la prison.
Entre 2002 et 2008, le nombre de personnes placées sous écrou a augmenté de 25%. Au 1er août 2009, il y avait 62 420 détenus pour 51.000 places, répartis dans 194 établissements. La durée moyenne sous écrou est passée de 7,9 mois en 2002 à 9 mois en 2008. Près de 75% des personnes condamnées le sont à des peines de mois de 6 mois. Chaque jour, 3 tentatives de suicide, 3 débuts de grève de la faim et un suicide effectif ou mort suspecte tous les trois jours, soit un taux
supérieur de 7 fois au monde extérieur. Voilà pour le portrait statistique de l’univers carcéral. La prison ou « la honte et l’humiliation de la République ». Une situation indigne d’une démocratie.
En réalisant cette collection, Joseph Beauregard, l’auteur-réalisateur, a souhaité poursuivre son engagement citoyen et son travail sur l’univers carcéral : « La prison ne doit pas être une vengeance mais une seconde chance. Depuis toujours, la prison est coupée des valeurs républicaines, c’est un univers où l’inhumanité, l’arbitraire et la misère règnent. C’est un monde où la dignité humaine est absente et ce n’est pas acceptable ».
Avec ces deux nuits, c’est tout un univers qui se déploie avec ses codes, ses rituels, ses histoires intimes. Est-ce qu’on peut dire la prison ? Avec ces 10 nuits en prison suspendues à l’angoisse et l’inconnu, Joseph Beauregard donne à entendre quelques minutes d’humanité.
Sur Radio Nova : 101,5 du lundi 14 septembre au vendredi 25 septembre à 8h10 et 18h20
http://www.novaplanet.com/
Sur Le Monde.fr du lundi 14 septembre au vendredi 25 septembre.
http://www.lemonde.fr/
La 15-è Conférence des directeurs d’administration pénitentiaire (CDAP) aura lieu du 9 au 11 septembre à Edimbourg, Ecosse. Son thème sera « Prisons surpeuplées : à la recherche des solutions ». La conférence abordera un nombre des questions prioritaires comme la population carcérale toujours grandissante dans la plupart des Etats membres du Conseil de l’Europe, ainsi que des moyens à réduire l’inflation carcérale et à susciter la confiance de la société quant à l’efficacité des sanctions et mesures qui maintiennent les délinquants dans la collectivité.
Formulaires d’enregistrement
(frais de participation couverts) (frais de participation non-couverts)
Questionnaire
Rediffusion le :
samedi 05/09/2009 à 22h00
dimanche 06/09/2009 à 18h00
samedi 12/09/2009 à 14h00
Durée : 52 minutes
" Sauf en Moldavie, je n’ai vu de prison pire que ça " : Tels sont les mots du Commissaire Européen aux droits de l’homme après sa dernière visite des prisons françaises. Mais comment peut-on encore accepter cela au pays des droits de l’homme ?
1 suicide tous les 3 jours, taux d’occupation de 200 %, 8 détenus sur 10 présentant une pathologie psychiatrique,... Derrière ces chiffres alarmants existe une réalité depuis trop longtemps dissimulée.
Si la prison a un sens, il faut qu’elle soit école de citoyenneté et de démocratie, et non plus école du crime. Ca qui ne se fera que lorsque l’on considèrera les personnes incarcérées comme faisant partie intégrante de notre société.
A travers l’histoire de 2 familles touchées par l’absurdité et la violence carcérale, ce documentaire nous ouvre progressivement les yeux sur les failles d’un système auquel on a trop souvent recours.
Il nous propose une réflexion sur la question de l’enfermement et sur l’absurdité d’y ajouter la violence, la haine, la frustration et l’humiliation, quand on voit les conséquences dramatiques que cela peut avoir sur un détenu, qui tôt ou tard retrouvera la société extérieure.
A Nantes, certains détenus en fin de peine sont accueillis au sein de familles bénévoles, afin d’y trouver un accompagnement dans leur réinsertion sociale et professionnelle. Florence Mary a suivi cette expérience pilote, mise en place à l’initiative de l’association « L’Etape » : à leur sortie de prison, les détenus isolés et sans attaches trouvent un foyer qui leur offre, quelques semaines durant, un lieu de vie où préparer leur retour à la vie extérieure.
INFOS TECHNIQUES
Showview : 50570401
Stéréo
Inédit
PLANÈTE JUSTICE MARDI 1 SEPTEMBRE 2009 DE 20H40 À 21H35 (55’)
A Nantes, certains détenus en fin de peine sont accueillis au sein de familles bénévoles, afin d’y trouver un accompagnement dans leur réinsertion sociale et professionnelle. Florence Mary a suivi cette expérience pilote, mise en place à l’initiative de l’association « L’Etape » : à leur sortie de prison, les détenus isolés et sans attaches trouvent un foyer qui leur offre, quelques semaines durant, un lieu de vie où préparer leur retour à la vie extérieure.
Diffusions
* Mardi 01 Septembre 2009 - 20h40
* Jeudi 03 Septembre 2009 - 15h20
* Samedi 05 Septembre 2009 - 12h40
* Mercredi 09 Septembre 2009 - 15h30
* Jeudi 10 Septembre 2009 - 22h55
* Lundi 14 Septembre 2009 - 15h40
Avec le taux de criminalité le plus élevé des Etats-Unis, le Maryland abrite certaines des femmes les plus dangereuses du pays. Le Maryland Correctional Institution for Women, situé dans la ville de Jessup, est la seule prison pour femmes de cet Etat. Les détenues sont enfermées ensemble, sans aucune distinction de peine ou de gravité des actes qu’elles ont commis. Un univers carcéral impitoyable, où les prisonnières sont animées par une rage et une violence commune.
Aux Etats-Unis, plus de deux millions de personnes sont incarcérées - soit près d’un habitant sur cent -, un chiffre qui augmente régulièrement. Pour mater les détenus les plus récalcitrants, l’institution pénitentiaire a décidé de confiner les criminels les plus dangereux dans des prisons de très haute sécurité, appelées Supermax. Visite de l’une de ces nouvelles prisons, Oak Park Heights Supermax, située à Stillwater, dans le Minnesota. Une véritable forteresse équipée des technologies les plus récentes, qui permettent aux gardiens de surveiller les prisonniers 24 heures sur 24 et d’où il serait impossible de s’échapper.
La prochaine manifestation organisé dans le cadre des Entretiens Droit et Santé aura lieu le jeudi 22 septembre 2009 de 18h00 à 19 h 30 sur le thème "La protection de la santé dans les lieux de privation de liberté" par Jean Marie Delarue, contrôleur général des lieux de privation de liberté.
Salle du Conseil de l’Université Paris Descartes,
12, rue de l’Ecole de Médecine,
75006 Paris.
L’accès est libre et gratuit dans la limite des places disponibles ; une inscription préalable en ligne est toutefois nécessaire.
En France, 80 000 mineurs délinquants en grande difficulté sociale ont été confiés à la Protection judiciaire de la jeunesse. Quelques mois après les émeutes qui ont éclatées en 2005 dans les banlieues, Pascal Clément, alors Garde des Sceaux, a lancé « l’opération parrainage ». L’idée du ministre d’alors était d’impliquer les Français qui ont réussi dans la prise en charge de certains de ces jeunes en déshérence et qui depuis leur plus jeune âge n’ont souvent connu que la police, les juges et la violence. Que reste-il de l’opération ? Rencontre avec Julien et Michel, Samuel et Hassina, Karim et Xavier : des parrains et des filleuls qui ont construit sur le long terme une vraie relation de confiance.
INFOS TECHNIQUES
Showview : 511616
En 16/9
Sous-titrage malentendant (Antiope)
Stéréo
Inédit
Les prisons françaises connaissent en moyenne un suicide tous les trois jours. Surpopulation carcérale, vétusté des locaux, violences entre détenus en sont les causes principales. Une situation qui provoque régulièrement la condamnation de la France par la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Tout nouveau détenu qui découvre cet univers est particulièrement stressé et subit ce qu’on appelle communément le choc carcéral. Sa violence est telle que les risques de suicide sont effectivement les plus élevés durant les dix premiers jours d’enfermement. Du fourgon de l’Administration pénitentiaire à la fouille au corps, et jusqu’à la première nuit en cellule, comment se déroule l’accueil des arrivants ?
DIFFUSIONS
M6 DIMANCHE 13 SEPTEMBRE 2009 DE 22H45 À 0H10 (85’)
Rediffusions :
Jeudi 17 septembre 2009 : M6 00h05
Jeudi 17 septembre 2009 : M6 HD 00h05
Groupe Multiprofessionnel des Prisons
18 rue de la Poste
94250 Gentilly
Tel : 01 48 38 76 84
Email : antoine.lazarus.gmp@gmail.com,
La prochaine réunion du GMP aura lieu le Mardi 2 juin 2009
Début 19 h - 22h30 fin
Maison des sciences de l’homme 52-54 Bd Raspail 75006 Paris (En face de l’Hôtel Lutétia ; Métro Sèvres Babylone et Saint Placide)
Prisons ouvertes
Un reportage de Sandrine Léonardelli et Patrick Méheut
Une production France Télévisions - Faut pas rêver
La prison de Nuuk, capitale du Groenland, est une prison sans barreau, sans barbelés, sans mur d’enceinte : un bâtiment parmi d’autres coincé entre la mer et la montagne.
Une soixantaine de détenus purgent ici une peine en semi- liberté. Ils travaillent dans la journée, peuvent sortir régulièrement pour rendre visite à leur famille. Tout est fait pour ne pas les couper de la société. Au Groenland le mot prison n’existe pas. Le système pensé par les Danois dans les années 60 est inspiré de la tradition groenlandaise de la punition : pas question d’enfermer les hommes, il fallait les garder en activité, s’attacher avant tout à l’individu et non à son crime. A l’époque on disait que c’était le meilleur système pénitentiaire du monde.