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Madame, Monsieur,
L’université de Reims et l’Association Renaissance de l’abbaye de Clairvaux organisent un colloque international intitulé Enfermements. Le cloître et la prison du Ve au XVIIIe siècles qui se tiendra à Troyes et à Bar-sur-Aube des 22 au 24 octobre 2009, et comprendra une visite de l’ancienne abbaye de Clairvaux le vendredi 23 octobre 2009.
L’ambition du colloque est de proposer une réflexion transversale sur les deux enfermements, claustral et répressif, au Moyen-Âge et à l’époque moderne. Il s’agit d’étudier, en tant que telle et dans son historicité, la clôture, les attentes que l’on place en elle, les valeurs qu’elle recèle, les objectifs qu’on lui assigne, les formes qu’elle prend. Trois volets thématiques seront proposés à l’étude dans des contributions en forme de bilans synthétiques, conçus par les principaux spécialistes internationaux : 1) conceptions et valeurs de l’enfermement ; 2) vivre en milieu clos ; 3) objectifs et usages sociaux de l’enfermement.
Vous trouverez le programme ainsi que les renseignements pratiques (notamment concernant l’inscription) sur le site http://www.enfermements.fr
Nous souhaiterions diffuser ces informations afin d’assurer au colloque une large publicité. Serait-il possible d’annoncer ce colloque sur votre site ?
En vous remerciant par avance, recevez, Madame, Monsieur, l’expression de nos très cordiales salutations
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Le Comité d’organisation
Isabelle Heullant-Donat, Professeur des Universités en histoire médiévale
Julie Claustre, Maître de Conférence, Histoire médiévale
Elisabeth Lusset, ATER, Histoire médiévale
Colloque Enfermements - 22-24 octobre 2009
Compagnie SIYAJ Guadeloupe
« Comme deux frères »
d’après un texte de Maryse Condé
6-10 octobre 2009
« Comme deux frères » invite à un voyage au cœur de deux âmes meurtries en rupture avec leur société. L’espace de la nuit précédant leur procès, suite à un braquage raté ayant entraîné la mort d’un homme, confinés dans la cellule d’une prison, deux amis d’enfance se confient et partagent rêves et cauchemars, espoirs et angoisses. Ce huis clos exacerbe leurs sentiments et confronte leurs caractères aussi différents que singuliers. Le tempérament impulsif et violent de l’un s’oppose à la fragilité et au caractère plus introverti de l’autre. À travers les portraits de ces deux jeunes paumés, le texte de Maryse Condé dresse un réquisitoire de la société guadeloupéenne.
Texte Maryse Condé Mise en scène José Exélis Adaptation dramaturgique José Pliya Avec Gilbert Laumord et Ruddy Sylaire Direction artistique Gilbert Laumord Direction de production Elvia Gutiérrez
Durée du spectacle : 1h
Production Compagnie Siyaj Coproduction Compagnie Les enfants de la mer, l’Artchipel - scène nationale de Guadeloupe, Cmac - scène nationale de Martinique
Source : Théâtres créoles
Amis de la Culture,
A l’occasion de la sortie du livre de Grégory Salle, "La part d’ombre de l’État de droit - La question carcérale en France et en RFA depuis 1968", le Merle Moqueur organise une discussion publique autour de ce livre.
En savoir plus sur le livre "La part d’ombre de l’État de droit - La question carcérale en France et en RFA depuis 1968"
http://www.editions.ehess.fr/ouvrages/ouvrage/la-part-dombre-de-letat-de-droit
QUESTIONS A LA UNE
Un magazine d’actualité pour questionner, enquêter, interpeller et aller au-delà des simples constatations de l’actualité événementielle. Cela, en interaction permanente avec le public, non seulement en répondant chaque semaine à des questions qu’il se pose mais surtout en restant au plus près des préoccupations de nos concitoyens. Une ligne éditoriale claire, rigoureuse, s’inscrivant dans l’actualité des faits marquants ou dans l’air du temps. Le magazine parle d’enjeux, pose des questions précises et apporte des réponses. En cela, il entend permettre aux téléspectateurs d’aiguiser leur sens critique et de mieux comprendre la société et le monde dans lequel ils vivent.
Présentation : Bruno Clément.
Au sommaire :
Plus de prisons est-ce vraiment la solution ?
Evasions, tensions, suicides, l’univers carcéral belge a beaucoup fait parlé de lui durant l’été dernier. « Questions à la une » a donc poussé les portes des prisons belges pour découvrir des cellules surpeuplées, où petits dealers et bandits de grand chemin cohabitent, des conditions d’hygiène lamentables et une drogue omniprésente. Rien de bien nouveau ! Mais ce que l’on découvre dans ce reportage dépasse par son ampleur tout ce qu’on peut imaginer. Les conditions offertes sont non seulement indignes d’un Etat de droit mais, complètement inadaptées à la rééducation, qui permet la réinsertion professionnelle des détenus. Car ne l’oublions pas, la très grande majorité des 10000 détenus belges sortiront un jour...
Présentation : Bruno Clément.
Catherine a passé dix ans en prison. Virginie, condamnée à un an, bénéficie d’un aménagement de peine à l’extérieur. Toutes les deux racontent l’incarcération, le regard des autres, la difficile réinsertion tant professionnelle que sociale et familiale. Durant huit mois, la caméra les accompagne dans leur combat pour préserver leur place de mère : tandis que l’une tente de renouer le lien avec ses grands enfants après une si longue séparation, l’autre a pour objectif de vivre à nouveau avec ses deux fillettes une fois libre.(Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)
Diffusions
Mar. 18 mars 2008 à 20:41, Mer. 21 octobre 2009 à 00:25
Auteur : CARIÈS LUCIE
Durée : 00:52:15
Réalisateur : CARIÈS LUCIE
Avec la participation de : FRANCE 5
Production : KUIV PRODUCTIONS
Production déléguée : ROTMAN MICHEL
Production exécutive : RANC MARIE-HÉLÈNE
Avec le soutien de : CNC (CENTRE NATIONAL CINEMA),PROCIREP - STÉ DES PRODUCTEURS,ANGOA (L’)
de Audrey Goutard
L’état lamentable de nos prisons, les suicides, les cellules individuelles on en parle beaucoup, Audrey Goutard et Annie Tribouart ont choisi de passer 24h dans la maison d’arrêt à Villepinte. L’enfermement, la vie quotidienne en prison pour les détenus et les matons. Immersion dans cette maison d’arrêt réputée pour être dure et violente.
Appel à une journée anti-carcérale à Poitiers
Le collectif contre la prison de Vivonne organise le samedi 10 octobre 2009 une journée basée sur le thème des prisons, notamment celle de Vivonne qui se verra ouvrir ses portes aux alentours du 11 octobre. Cette journée se veut un espace de contestation, de critique et de réflexions sur le sens de cette nouvelle prison comme des autres … Le projet est largement avancé et vous trouverez ci-après les moments forts de la journée, bien qu’il y ait des points qu’il faille encore éclaircir. Nous vous contactons car nous pensons que votre approche permettra d’approfondir le débat sur le réel sens de l’enfermement, à l’intérieur comme en dehors. Il n’y a pas de positions déjà tranchées et l’ouverture à tous les milieux de l’anticarcéral, de l’abolitionnisme à l’amélioration immédiate des conditions d’emprisonnement, a été décidée collectivement. La programmation reste à préciser, en attente des réponses des intervenants potentiels. Il s’agira d’une manifestation dans l’après-midi suivie de débats dans la soirée et finir l’événement par quelques concerts de tous genres.
Le collectif contre la prison de Vivonne
Contact : collectifvivonne@gmail.com
En compagnie de Christophe Rocancourt, qui a purgé une peine de cinq ans dans un établissement de haute sécurité aux Etats-Unis, visite de la prison d’Etat de l’Utah. Gangrené par la violence des gangs, cet établissement compte près de 4000 détenus. Les autorités estiment qu’un prisonnier sur quatre est affilié à un gang, comme les Crips, les Aryens ou les Surenos. Ces groupes criminels parviennent à faire entrer toutes sortes de substances illicites à l’intérieur de la prison, en dépit des mesures de sécurité draconiennes qui y sont appliquées. Les affrontements entre prisonniers, que ce soit pour le contrôle du trafic de drogue ou des motifs plus futiles, sont légions et se finissent, la plupart du temps, dans un bain de sang.
En compagnie de Christophe Rocancourt, visite du centre pénitentiaire d’Alexander, une véritable forteresse située à proximité de la commune de Taylorsville, en Caroline du Nord. Dotée de plus de 1 000 cellules, la prison peut compter sur une escouade de 500 surveillants pour veiller sur ses pensionnaires, dont un bon nombre sont classés parmi les criminels les plus violents des Etats-Unis. Les règles très strictes qui y sont appliquées provoquent la crainte de tous les détenus américains.
Groupe Multiprofessionnel des Prisons
18 rue de la Poste
94250 Gentilly
Tel : 01 48 38 76 84
Email : antoine.lazarus.gmp@gmail.com,
La prochaine réunion du GMP aura lieu le Mardi 2 juin 2009
Début 19 h - 22h30 fin
Maison des sciences de l’homme 52-54 Bd Raspail 75006 Paris (En face de l’Hôtel Lutétia ; Métro Sèvres Babylone et Saint Placide)
Les détenus incarcérés dans la prison de Salinas Valley, en Californie, font partie des criminels les plus dangereux de l’Etat. De nombreux prisonniers appartiennent à des gangs, qui opèrent au sein même de la prison. La rivalité opposant ces différents groupes a progressivement plongé le pénitencier dans le chaos. Après les meurtres de deux surveillants, poignardés par des prisonniers, la situation peut basculer à tout moment dans la violence.
La prison d’Etat de Pelican Bay, en Californie, fait partie des établissements pénitenciers de très haute sécurité. Depuis près de vingt ans, les membres des gangs les plus violents y sont enfermés. Mais progressivement, la forteresse s’est transformée en une sorte de quartier général du crime. En effet, bien qu’incarcérés, la plupart des détenus continuent à veiller sur leurs trafics depuis leurs cellules et les gangs rivaux s’affrontent quotidiennement.
Avec le taux de criminalité le plus élevé des Etats-Unis, le Maryland abrite certaines des femmes les plus dangereuses du pays. Le Maryland Correctional Institution for Women, situé dans la ville de Jessup, est la seule prison pour femmes de cet Etat. Les détenues sont enfermées ensemble, sans aucune distinction de peine ou de gravité des actes qu’elles ont commis. Un univers carcéral impitoyable, où les prisonnières sont animées par une rage et une violence commune.
En compagnie de Christophe Rocancourt, une rencontre avec Diedreikus Alberts, chef des Crips, le gang le plus influent de la prison de Lebanon, située dans l’Ohio. Autant craint que respecté par ses codétenus et les gardiens, il a su détourner à son avantage ses conditions de détention. Le repris de justice présente son univers.