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Que s’est-il passé entre l’Ordonnance de 1945 qui pose les fondements protecteurs de la Justice des Mineurs et les lois répressives des années 2000 ? Comment expliquer qu’au lendemain de la guerre, la société porte un regard compatissant sur une jeunesse délinquante dont elle se sent responsable alors qu’elle choisit aujourd’hui d’en faire son bouc émissaire ? Trois experts apportent leurs réponses : Pierre Joxe, avocat pour mineurs ; Jean-Pierre Rosenczveig, juge pour enfants et Laurent Mucchielli, sociologue spécialiste de la délinquance juvénile. Et des anciens mineurs délinquants livrent leur témoignage pour la première fois à la télévision.
Des "voleurs de poules" des années d’après-guerre aux "blousons noirs" des années 60, en passant par les "loubards" des années 70 et 80, les "zoulous" des années 90 et la "racaille" des années 2000, ce film nourri d’archives raconte l’histoire de cette jeunesse face au regard de la société et aux décisions de justice.
Avec ses roches rouges et ses vastes plaines arides, Cañon City offre un décor de western. Mais dans cette localité reculée du Colorado, les hors-la-loi sont enfermés à double tour. Surnommée "Prison valley", la ville de 36 000 habitants abrite treize prisons et quelque 8 000 détenus. Les plus dangereux sont reclus, vingt-trois heures sur vingt-quatre, dans les cellules bétonnées de Supermax, un pénitencier ultramoderne qui expérimente la privation sensorielle. À l’extérieur, le shérif du comté fait sa ronde, les gardiens de prison déjeunent chez des collègues reconvertis dans la restauration, les familles de détenus posent leurs valises dans les motels, et les touristes arpentent le musée des prisons, installé dans une ancienne maison d’arrêt pour femmes.
Relais d’informations sur les lieux d’enfermement et sur les actions menées pour briser l’isolement des personnes incarcérées et de leurs proches.
Vous êtes proches de détenu(e)s et vous souhaitez témoigner, partager votre expérience, apporter de l’aide, de l’information, vous organiser avec d’autres
Afin de se rencontrer et de s’entraider, une permanence s’ouvre un dimanche sur deux à partir du 17 mars 2013
33 rue des Vignoles 75020 Paris Métro : AvronDepuis sa réélection à la présidence de la Fédération de Russie en mars 2012, Vladimir Poutine donne une image inquiétante de son pays. Une démocratie inachevée où manifester ses opinions politiques peut désormais coûter cher : dommages et intérêts ou privation de liberté. Une Russie procédurière où 99% des décisions de justice aboutissent à une condamnation, plus encore que sous Staline. Conséquence directe : la Russie affiche le deuxième taux d’incarcération au monde, avec plus de 800 000 détenus, dont près d’un tiers d’innocents, selon les défenseurs des droits de l’Homme. Malgré les réformes amorcées par Dimitri Medvedev, les condamnations pour « crime économique » ne reculent pas : selon les chiffres officiels, un entrepreneur sur six a déjà été poursuivi.
Depuis sa réélection à la présidence de la Fédération de Russie en mars 2012, Vladimir Poutine donne une image inquiétante de son pays. Une démocratie inachevée où manifester ses opinions politiques peut désormais coûter cher : dommages et intérêts ou privation de liberté. Une Russie procédurière où 99% des décisions de justice aboutissent à une condamnation, plus encore que sous Staline. Conséquence directe : la Russie affiche le deuxième taux d’incarcération au monde, avec plus de 800 000 détenus, dont près d’un tiers d’innocents, selon les défenseurs des droits de l’Homme. Malgré les réformes amorcées par Dimitri Medvedev, les condamnations pour « crime économique » ne reculent pas : selon les chiffres officiels, un entrepreneur sur six a déjà été poursuivi.
Depuis sa réélection à la présidence de la Fédération de Russie en mars 2012, Vladimir Poutine donne une image inquiétante de son pays. Une démocratie inachevée où manifester ses opinions politiques peut désormais coûter cher : dommages et intérêts ou privation de liberté. Une Russie procédurière où 99% des décisions de justice aboutissent à une condamnation, plus encore que sous Staline. Conséquence directe : la Russie affiche le deuxième taux d’incarcération au monde, avec plus de 800 000 détenus, dont près d’un tiers d’innocents, selon les défenseurs des droits de l’Homme. Malgré les réformes amorcées par Dimitri Medvedev, les condamnations pour « crime économique » ne reculent pas : selon les chiffres officiels, un entrepreneur sur six a déjà été poursuivi.
Depuis sa réélection à la présidence de la Fédération de Russie en mars 2012, Vladimir Poutine donne une image inquiétante de son pays. Une démocratie inachevée où manifester ses opinions politiques peut désormais coûter cher : dommages et intérêts ou privation de liberté. Une Russie procédurière où 99% des décisions de justice aboutissent à une condamnation, plus encore que sous Staline. Conséquence directe : la Russie affiche le deuxième taux d’incarcération au monde, avec plus de 800 000 détenus, dont près d’un tiers d’innocents, selon les défenseurs des droits de l’Homme. Malgré les réformes amorcées par Dimitri Medvedev, les condamnations pour « crime économique » ne reculent pas : selon les chiffres officiels, un entrepreneur sur six a déjà été poursuivi.
Que s’est-il passé entre l’Ordonnance de 1945 qui pose les fondements protecteurs de la Justice des Mineurs et les lois répressives des années 2000 ? Comment expliquer qu’au lendemain de la guerre, la société porte un regard compatissant sur une jeunesse délinquante dont elle se sent responsable alors qu’elle choisit aujourd’hui d’en faire son bouc émissaire ? Trois experts apportent leurs réponses : Pierre Joxe, avocat pour mineurs ; Jean-Pierre Rosenczveig, juge pour enfants et Laurent Mucchielli, sociologue spécialiste de la délinquance juvénile. Et des anciens mineurs délinquants livrent leur témoignage pour la première fois à la télévision.
Des "voleurs de poules" des années d’après-guerre aux "blousons noirs" des années 60, en passant par les "loubards" des années 70 et 80, les "zoulous" des années 90 et la "racaille" des années 2000, ce film nourri d’archives raconte l’histoire de cette jeunesse face au regard de la société et aux décisions de justice.
Depuis sa réélection à la présidence de la Fédération de Russie en mars 2012, Vladimir Poutine donne une image inquiétante de son pays. Une démocratie inachevée où manifester ses opinions politiques peut désormais coûter cher : dommages et intérêts ou privation de liberté. Une Russie procédurière où 99% des décisions de justice aboutissent à une condamnation, plus encore que sous Staline. Conséquence directe : la Russie affiche le deuxième taux d’incarcération au monde, avec plus de 800 000 détenus, dont près d’un tiers d’innocents, selon les défenseurs des droits de l’Homme. Malgré les réformes amorcées par Dimitri Medvedev, les condamnations pour « crime économique » ne reculent pas : selon les chiffres officiels, un entrepreneur sur six a déjà été poursuivi.
Relais d’informations sur les lieux d’enfermement et sur les actions menées pour briser l’isolement des personnes incarcérées et de leurs proches.
Vous êtes proches de détenu(e)s et vous souhaitez témoigner, partager votre expérience, apporter de l’aide, de l’information, vous organiser avec d’autres
Afin de se rencontrer et de s’entraider, une permanence s’ouvre un dimanche sur deux à partir du 17 mars 2013
33 rue des Vignoles 75020 Paris Métro : Avron