Un détenu de la Maison d’Arrêt de Corbas, bénéficiant d’une mesure de libération conditionnelle sous réserve de satisfaire à une mesure de PSE a vu celle-ci révoquée en raison de multiples incidents venus émailler le Placement sous Surveillance Électronique (3 bracelets cassés, alarmes déclenchées à de nombreuses reprises...).
Toutefois, le JAP, retenant la personnalité du requérant, la poursuite de ses soins psychologiques depuis sa sortie de détention, la mise en place de deux échéanciers auprès du fonds de garantie aux fins d’indemnisation de ses victimes ainsi que la prolongation de son CDD, a accepté de l’admettre au régime de la semi-liberté.