Publié le lundi 7 février 2005 | http://prison.rezo.net/le-desespoir-de-la-maman-de/ Madame, Monsieur, C’est par détresse et désespoir que je vous écris car j’ai perdu mon enfant le 21 novembre 2001 au centre pénitentiaire des Baumettes à Marseille. Je vous supplie de passer mon annonce, car j’ai besoin de connaître la vérité. Le procureur reste sourd à mes appels, et la procédure est toujours au point mort, pourtant je me suis porté partie civile en versant la somme de 1.500 euros. Ma fille s’appelle Sandrine Dal Degan, son ex-compagnon a obtenu un droit de visite. C’est la dernière personne extérieure à l’avoir vu vivante... lors d’un parloir. Alors je vous supplie, aidez-moi, car même le garde des sceaux ne peut rien faire à l’encontre du procureur de Marseille. Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments dévoués. La famille de Sandrine Dal Degan Lire le communiqué sur la mort suspecte de Sandrine Dal Degan |