LE MONDE | 29.01.05 | 13h08
Il ne lui reste plus guère de temps. Malade du sida en phase terminale, Jean-François G. a obtenu, mardi 25 janvier, le droit de sortir de prison pour mourir à l’hôpital. Cette décision humanitaire a été prise in extremis en vertu de la loi de mars 2002, qui autorise les suspensions de peine pour raisons médicales. Avant d’obtenir cette libération, le détenu a essuyé plusieurs refus incompréhensibles.
Le 21 janvier, le médecin expert qui a examiné Jean-François G. à (...)