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Il n’y a pas de détenu sans surveillant. Les surveillants sont les grands oubliés de la question carcérale. Soumis à une pression psychologique constante, socialement stigmatisés, peu considérés par leur hiérarchie, et risquant leur intégrité physique au quotidien, ils se sentent le plus souvent incompris. Suivis plusieurs mois dans l’exercice de leurs fonctions au centre de détention de Châteaudun, ils nous offrent la possibilité de voir la prison autrement. Loin des clichés, poser un regard sur les surveillants au contact permanent des détenus, c’est poser un regard sur notre système carcéral. FIPA d’Argent - Grands Reportages au FIPA (Festival international de programmes audiovisuels) - Biarritz (France) 2012
Ce film révèle le monde carcéral à l’aide d’un axe inédit : les PARLOIRS, espaces déterminants dans la vie des détenus, de leurs familles et du personnel pénitentiaire. En immersion, dans le cadre d’un parloir, le film est, simplement et entièrement, au plus près de cette parole qui y est échangée et des sentiments qui l’accompagnent. De l’extérieur vers l’intérieur, depuis l’accueil des familles jusqu’aux rencontres au parloir, ce film, sans interviews, s’appuie sur le seul quotidien de ce lieu.
Cette série retrace l’évolution technologique de différents types d’ouvrages au fil des siècles. La prison haute-sécurité. A deux cents kilomètres de Washington, entourée de barbelés tranchants, se dresse l’une des prisons les plus sures du monde. C’est le pénitencier de North Branch, le nec plus ultra de l’architecture carcérale. Dans son enceinte, on compte des centaines de caméras, des cellules blindées, des serrures commandées a distance et tout un arsenal d’armes destinées a maîtriser les détenus. En effet, plus de neuf cents d’entre eux ont été condamnes pour meurtre. Cette prison est l’héritière d’une série de prisons emblématiques. Chacune a bénéficié d’une avancée décisive dans la conception carcérale qui l’a rendue plus hermétique que les précédentes...
Enceinte de 2 mois, Ombline 20 ans, est incarcérée pour quatre ans. Elle donne naissance à Lucas et apprend à l’élever en prison. A 18 mois, l’enfant est placé en famille d’accueil comme la loi l’exige. Séparée de son fils, parmi ces femmes abîmées, surveillantes ou prisonnières, Ombline se construit en tant que femme… en tant que mère… Elle va se battre dans le seul espoir de récupérer la garde de Lucas à sa sortie de prison…
Merci de confirmer impérativement votre présence à l’adresse suivante : gmalheiro@pressbox.fr ou au 06 31 75 76 77
38 rue Marbeuf 75008 ParisEn 1862, Victor Hugo publiait « Les Misérables », depuis son exil à Guernesey. Roman social, articulé autour du personnage de Jean Valjean, forçat repenti inspiré de la figure d’Eugène-François Vidocq, le livre brosse la réalité des gens du petit peuple dans la première moitié du XIXe siècle. « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale, des livres tels que celui-ci pourront ne pas être inutiles », déclarait Hugo à propos de son roman. Et si les personnages d’Hugo existaient aujourd’hui, quelle vie auraient-ils ?
En 1999, Sean Sellers, condamné à mort à l’âge de 16 ans, est exécuté dans l’Etat de l’Oklahoma, malgré les protestations internationales. Le réalisateur le filme dans les couloirs de la mort et rencontre, lors de l’audience du recours en grâce, la famille de ses victimes. Dix ans après la mort de Sellers, David André part à la rencontre de ceux qu’il avait filmés : le procureur, les familles, les gardiens qui ont exécuté le condamné. L’exécution a-t-elle été un soulagement ou est-elle un poids pour ceux qui y ont participé ? Le film apporte une réflexion sur la peine de mort et son application.
Il n’y a pas de détenu sans surveillant. Les surveillants sont les grands oubliés de la question carcérale. Soumis à une pression psychologique constante, socialement stigmatisés, peu considérés par leur hiérarchie, et risquant leur intégrité physique au quotidien, ils se sentent le plus souvent incompris. Suivis plusieurs mois dans l’exercice de leurs fonctions au centre de détention de Châteaudun, ils nous offrent la possibilité de voir la prison autrement. Loin des clichés, poser un regard sur les surveillants au contact permanent des détenus, c’est poser un regard sur notre système carcéral. FIPA d’Argent - Grands Reportages au FIPA (Festival international de programmes audiovisuels) - Biarritz (France) 2012