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Angleterre, années 1970. Trois jeunes, Carlin, Davis et Angel arrivent dans un borstal, un centre de détention pour mineur. Ils ont peur. Ils ont raison, car ils vont connaître l’enfer. Dans le centre, c’est la loi du plus fort, la loi du plus méchant, le règne de la terreur et de l’humiliation. Pris dans l’engrenage infernal d’un système sans issue, Carlin, Davis et Angel n’ont plus qu’un but : survivre.
Scum c’est "les rebuts" ou "la lie de la société"... C’est un film sur de jeunes anglais mis dans les centres d’enfermement pour mineurs, les "borstals", ces maisons de correction de Sa Gracieuse Majesté. C’est sur la violence entre jeunes et avec les gardiens de l’institution jusqu’à l’explosion dans une révolte générale. À sa sortie, le film après avoir été censuré, a été critiqué par ceux qui préferaient ne pas voir et ne pas savoir, tout y est abordé comme le racisme, le viol, le suicide... Le film est depuis considéré comme un classique sur le thème de la taule, il est toujours d’actualité et dépasse les frontières anglaises. En France, on parle aujourd’hui de Centre éducatif renforcé ou fermé ou d’EPM (Etablissement pénitentiaire pour mineurs).
106 Rue Victor Hugo 93170 Bagnolet Métro Robespierre ou GalliéniEn France, on considere que 40 % des detenus sont deprimes, que 55% sont anxieux et 10% ont des troubles psychiques severes. Un taux vingt fois plus eleve que dans la population normale. Pour faire face, la justice a mis en place des centres SMPR (Service Medico Psychiatrique regional) ou se cotoient les mondes de la sante et de la justice. Il existe 26 centres de ce genre pour 191 prisons. Autant dire que leur nombre est insuffisant, alors que les hopitaux psychiatriques ne veulent pas des detenus atteints de troubles. Pour etre pris en charge par ces centres, il faut etre volontaire. Ce film propose un voyage aupres de ces hommes qui purgent une double peine : malades psychiques et prisonniers de droit commun, des hommes aux confins de notre societe, des hommes que la societe enferme pour ne pas les voir. Serge Moati nous emmene au Centre penitentiare de Poitiers-Vivonne...
Enceinte de 2 mois, Ombline 20 ans, est incarcérée pour quatre ans. Elle donne naissance à Lucas et apprend à l’élever en prison. A 18 mois, l’enfant est placé en famille d’accueil comme la loi l’exige. Séparée de son fils, parmi ces femmes abîmées, surveillantes ou prisonnières, Ombline se construit en tant que femme… en tant que mère… Elle va se battre dans le seul espoir de récupérer la garde de Lucas à sa sortie de prison…
128-162, avenue de France 08 92 69 84 84(#1) Métro: Bibliothèque François Mitterrand / Quai de la Gare Bus n°: 62, 89, 132 http://www.mk2.frEn France, on considere que 40 % des detenus sont deprimes, que 55% sont anxieux et 10% ont des troubles psychiques severes. Un taux vingt fois plus eleve que dans la population normale. Pour faire face, la justice a mis en place des centres SMPR (Service Medico Psychiatrique regional) ou se cotoient les mondes de la sante et de la justice. Il existe 26 centres de ce genre pour 191 prisons. Autant dire que leur nombre est insuffisant, alors que les hopitaux psychiatriques ne veulent pas des detenus atteints de troubles. Pour etre pris en charge par ces centres, il faut etre volontaire. Ce film propose un voyage aupres de ces hommes qui purgent une double peine : malades psychiques et prisonniers de droit commun, des hommes aux confins de notre societe, des hommes que la societe enferme pour ne pas les voir. Serge Moati nous emmene au Centre penitentiare de Poitiers-Vivonne...