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Il n’y a pas de détenu sans surveillant. Les surveillants sont les grands oubliés de la question carcérale. Soumis à une pression psychologique constante, socialement stigmatisés, peu considérés par leur hiérarchie, et risquant leur intégrité physique au quotidien, ils se sentent le plus souvent incompris. Suivis plusieurs mois dans l’exercice de leurs fonctions au centre de détention de Châteaudun, ils nous offrent la possibilité de voir la prison autrement. Loin des clichés, poser un regard sur les surveillants au contact permanent des détenus, c’est poser un regard sur notre système carcéral. FIPA d’Argent - Grands Reportages au FIPA (Festival international de programmes audiovisuels) - Biarritz (France) 2012
Ce film révèle le monde carcéral à l’aide d’un axe inédit : les PARLOIRS, espaces déterminants dans la vie des détenus, de leurs familles et du personnel pénitentiaire. En immersion, dans le cadre d’un parloir, le film est, simplement et entièrement, au plus près de cette parole qui y est échangée et des sentiments qui l’accompagnent. De l’extérieur vers l’intérieur, depuis l’accueil des familles jusqu’aux rencontres au parloir, ce film, sans interviews, s’appuie sur le seul quotidien de ce lieu.
Ce film révèle le monde carcéral à l’aide d’un axe inédit : les PARLOIRS, espaces déterminants dans la vie des détenus, de leurs familles et du personnel pénitentiaire. En immersion, dans le cadre d’un parloir, le film est, simplement et entièrement, au plus près de cette parole qui y est échangée et des sentiments qui l’accompagnent. De l’extérieur vers l’intérieur, depuis l’accueil des familles jusqu’aux rencontres au parloir, ce film, sans interviews, s’appuie sur le seul quotidien de ce lieu.
Ce film révèle le monde carcéral à l’aide d’un axe inédit : les PARLOIRS, espaces déterminants dans la vie des détenus, de leurs familles et du personnel pénitentiaire. En immersion, dans le cadre d’un parloir, le film est, simplement et entièrement, au plus près de cette parole qui y est échangée et des sentiments qui l’accompagnent. De l’extérieur vers l’intérieur, depuis l’accueil des familles jusqu’aux rencontres au parloir, ce film, sans interviews, s’appuie sur le seul quotidien de ce lieu.
A Rennes, comme dans beaucoup d’autres villes françaises la Maison d’arrêt construite au début du 20e siècle déserte le centre ville au profit d’un Centre Pénitentiaire de 690 places construit en périphérie. Alors que le déménagement approche, les personnes détenues et les personnels ont une seule et même question : que sera la vie dans cette nouvelle prison ? Dans les deux établissements, le film s’interroge avec les personnages, sur la façon dont l’architecture interfère dans le mode de fonctionnement d’une prison et le lien entre la modernisation des locaux et l’amélioration de la vie en détention. Au-delà de la prison, il questionne le postulat selon lequel, nouveauté et avancées technologiques signifient nécessairement, mieux-être et progrès.