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Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de 6 protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine. À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes du service public de justice, sans angélisme ni dogmatisme. Le cycle "Entrer, Rester puis Revenir en prison" est-il irrémédiable ?
Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de 6 protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine. À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes du service public de justice, sans angélisme ni dogmatisme. Le cycle "Entrer, Rester puis Revenir en prison" est-il irrémédiable ?
3ème partie : "Revenir en prison" :
Cambriolage, agression sexuelle, coups et blessuresn ou conduite en état d’ivresse… Toute personne condamnée à une peine de prison finit nécessairement par en sortir un jour. Un enjeu essentiel se concentre autour de sa personne : comment ne pas revenir en prison ?
Le film aborde la prison sous l’angle de ses relations avec son environnement. A Cherbourg, la maison d’arrêt est située en plein cœur de la ville. Exposée aux regards pour ce qui est de l’édifice et complètement opaque dans son fonctionnement, la prison est une enclave d’invisibilité dans le territoire urbain. Le film s’interroge sur ce que chaque univers perçoit de celui qui lui fait face et crée un dialogue fictif entre les personnes incarcérées et les habitants.
Projection suivie d’une discussion autour des nouvelles prisons et sur l’exposition "La salle aux pris"
16 rue Georges Danton 59000 Lille (Moulins)Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de 6 protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine. À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes du service public de justice, sans angélisme ni dogmatisme. Le cycle "Entrer, Rester puis Revenir en prison" est-il irrémédiable ?
Pour une émission spéciale 24H PRISON, François Chilowicz, réalisateur de "Hors la loi" et Bruno Clément-Petremann, directeur de prison et écrivain, seront les invités de Laurent Goumarre
Cette trilogie documentaire suit le parcours complet de 6 protagonistes mis en cause par la justice, depuis leur interpellation jusqu’à la fin de leur peine. À leurs côtés tout au long des procédures judiciaires, dans les lieux de police, de justice et de détention, le film propose une expérience singulière qui confronte le spectateur aux réalités concrètes du service public de justice, sans angélisme ni dogmatisme. Le cycle "Entrer, Rester puis Revenir en prison" est-il irrémédiable ?
A Rennes, comme dans beaucoup d’autres villes françaises la Maison d’arrêt construite au début du 20e siècle déserte le centre ville au profit d’un Centre Pénitentiaire de 690 places construit en périphérie. Alors que le déménagement approche, les personnes détenues et les personnels ont une seule et même question : que sera la vie dans cette nouvelle prison ? Dans les deux établissements, le film s’interroge avec les personnages, sur la façon dont l’architecture interfère dans le mode de fonctionnement d’une prison et le lien entre la modernisation des locaux et l’amélioration de la vie en détention. Au-delà de la prison, il questionne le postulat selon lequel, nouveauté et avancées technologiques signifient nécessairement, mieux-être et progrès.
Projection suivie d’un débat avec la réalisatrice Catherine Rechard et Jean Caël, responsable du département Prison au Secours Catholique - Caritas France.
20, rue du Temple, 75004 ParisAu moment même où William Francome nait, le 9 décembre 1981, un homme est arrêté pour le meurtre d’un policier de l’autre coté de l’Atlantique. Cet homme est noir, journaliste et ancien Black Panther. Il s’appelle Mumia Abu-Jamal. Pendant que William grandit paisiblement dans la banlieue de Londres, Mumia devient peu à peu un des plus célèbres condamnés à mort américain. En 2006, à 25 ans, William décide de partir sur les traces de celui qui a été en prison durant toute sa propre vie. Il va découvrir le passé incroyable du Philadelphie des années 80 et dévoiler tout un pan oublié de l’histoire sociale et politique récente des États-Unis. Le film le suit dans ce parcours et l’accompagne d’images d’archives inédites et de nombreuses interviews de personnalités et intellectuels américains, de Noam Chomsky… à Snoop Dogg. Alors que la France s’apprête à fêter les 30 ans de l’abolition de la peine de mort par le gouvernement de François Mitterrand, le 9 décembre 2011 sera le trentième anniversaire de l’incarcération de Mumia Abu-Jamal dans les couloirs de la mort en Pennsylvanie. Il y a plus de 3250 condamnés dans les couloirs de la mort des Etats-Unis. A l’approche des élections présidentielles américaines de 2012, les exécutions s’accélèrent.
34 rue Daubenton 75005 ParisA Rennes, comme dans beaucoup d’autres villes françaises la Maison d’arrêt construite au début du 20e siècle déserte le centre ville au profit d’un Centre Pénitentiaire de 690 places construit en périphérie. Alors que le déménagement approche, les personnes détenues et les personnels ont une seule et même question : que sera la vie dans cette nouvelle prison ? Dans les deux établissements, le film s’interroge avec les personnages, sur la façon dont l’architecture interfère dans le mode de fonctionnement d’une prison et le lien entre la modernisation des locaux et l’amélioration de la vie en détention. Au-delà de la prison, il questionne le postulat selon lequel, nouveauté et avancées technologiques signifient nécessairement, mieux-être et progrès.
Projection suivie d’un débat avec la réalisatrice Catherine Rechard, Augustin Rosenstiehl, architecte et spécialiste de l’architecture pénitentiaire, et Lyliane Besnard, membre du Secours Catholique - Caritas France.
Cinémas du Palais Armand-Badéyan 40, allée Parmentier - 94 000 CréteilTreize ans après le Plaidoyer pour les justes, Aïssa Lacheb revient enfin sur cette période de sa vie pour raconter ces histoires, ces destins croisés dans la dureté de la prison. Treize années, c’est le temps qu’il lui aura fallu pour pouvoir raconter ce qu’il y a derrière les murs, et nous livrer son expérience de la réclusion et de la détention.
C’est le quotidien de ces hommes, leurs histoires, leurs crimes et leurs sentiments, leur folie, leur désespoir, mais aussi les fous rires, les amitiés nouées et l’amour pour les livres et la littérature.
La librairie Atout Livre reçoit Aïssa Lacheb, à l’occasion du génial "Scènes de la vie Carcérale", à paraître aux éditions du Diable Vauvert. L’auteur du remarqué Plaidoyer pour les justes, remarqué et préfacé par, excusez-nous du peu, Jean Rouaud, revient sur cette période de sa vie où il fut incarcéré.
"J’écris la taule en la nommant une. J’ai fait le tour de la France carcérale. La prison, c’est le même principe partout : l’enfermement par des murs concrets de pierre et de béton. Inutile de préciser où cela se passait. C’était la taule, simplement. Ici, ailleurs, n’importe… Le temps n’a aucune importance. Aucune unité ni de temps ni de lieu dans ce qui m’est revenu en mémoire et que je relate ici." A. Lacheb
L’Observatoire International des Prisons sera également représenté pour nous parler de leur action.
203 bis avenue Daumesnil 75012 Paris Métro Daumesnil L6 et L8 Bus 29, 46 et 54A Rennes, comme dans beaucoup d’autres villes françaises la Maison d’arrêt construite au début du 20e siècle déserte le centre ville au profit d’un Centre Pénitentiaire de 690 places construit en périphérie. Alors que le déménagement approche, les personnes détenues et les personnels ont une seule et même question : que sera la vie dans cette nouvelle prison ? Dans les deux établissements, le film s’interroge avec les personnages, sur la façon dont l’architecture interfère dans le mode de fonctionnement d’une prison et le lien entre la modernisation des locaux et l’amélioration de la vie en détention. Au-delà de la prison, il questionne le postulat selon lequel, nouveauté et avancées technologiques signifient nécessairement, mieux-être et progrès.
Projection suivie d’un débat avec la réalisatrice Catherine Rechard.
20, rue du Temple 75004 Paris