Publié le jeudi 19 octobre 2006 | http://prison.rezo.net/rapport-de-la-mission/ REPONSES A LA DANGEROSITE RAPPORT SUR LA MISSION PARLEMENTAIRE CONFIEE PAR LE PREMIER MINISTRE A MONSIEUR JEAN-PAUL GARRAUD, DEPUTE DE LA GIRONDE, SUR LA DANGEROSITE ET LA PRISE EN CHARGE DES INDIVIDUS DANGEREUX SECRETARIAT GENERAL ASSURE PAR : SOMMAIRE RESUME DES PRECONISATIONS DU RAPPORT TITRE 1ER : EVALUER « LES » DANGEROSITES Section 1 : L’expertise judiciaire I. Le constat I.1. La crise de l’expertise psychiatrique I.1.1. Une demande croissante d’expertises I.1.2. Une démographie dégradée I.1.3. Un statut peu attractif et des conditions d’exercice difficiles I.2. Le développement de l’expertise psychologique I.2.1. Une autonomie d’expertise acquise récemment I.2.2. La nécessité de veiller à la complémentarité des expertises psychiatriques et des expertises psychologiques II. Les préconisations II.1. Réformer la fonction d’expert II.1.1. Revaloriser le statut de l’expert et perfectionner sa formation II.1.2. Repositionner l’expertise psychologique et renforcer la formation des psychologues II.1.3. Identifier et favoriser un cursus universitaire et professionnel en psycho-criminologie II.2. Mieux garantir la qualité des expertises II.2.1. Redéfinir les missions assignées à l’expert psychiatre II.2.2. Développer les méthodes et techniques d’aide à l’évaluation de la dangerosité criminologique Section 2 : Les fichiers et bases de données I. Les fichiers existants I.1. Un foisonnement de fichiers I.1.1. Les fichiers judiciaires : I.1.2. Les fichiers des services enquêteurs et des services administratifs I.1.3. Le fichier des autorités sanitaires I.2. La nécessaire amélioration des fichiers et des outils existants I.2.1. L’adéquation des moyens aux ambitions I.2.2. La question de l’opportunité du droit à l’oubli en matière de dangerosité criminologique I.2.3. L’absence d’interconnexions et d’approche pluridisciplinaire II. La nécessaire création d’un outil complémentaire : le Répertoire de Données à caractère personnel Collectées dans le cadre des Procédures Judiciaires (R.D.C.P.J.) II.1. Le principe du Répertoire des Données à caractère personnel Collectées dans le cadre des Procédures Judiciaires (R.D.C.P.J.) II.2. Les avantages procurés par le R.D.C.P.J. II.3. Le contenu du R.D.C.P.J. II.3.1. Les documents devant figurer au R.D.C.P.J. II.3.2. Les personnes et les infractions visées II.4. Le fonctionnement du R.D.C.P.J. II.4.1. L’alimentation du R.D.C.P.J. II.4.2. La consultation du R.D.C.P.J. II.4.3. La conservation des données II.4.4. Les droits reconnus à la personne II.5. La mise en Å“uvre du R.D.C.P.J. II.5.1. La faisabilité technique II.5.2. La phase transitoire Chapitre 2 : De nouveaux cadres d’évaluation pluridisciplinaires Section 1 : Les expériences de pluridisciplinarité en droit positif I. Le Centre National d’Observation : un outil à renforcer I.1. Le fonctionnement du Centre National d’Observation I.1.1. La mission du Centre National d’Observation I.1.2. Le champ de compétence du Centre National d’Observation I.1.3. L’approche pluridisciplinaire I.2. La nécessité de créer des Centres Régionaux d’Observation II. Les commissions pluridisciplinaires des mesures de sûreté Section 2 : La nécessité de créer des commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité I. Le principe des commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité I.1. La nécessité de créer des structures pluridisciplinaires I.2. Une extension des commissions pluridisciplinaires des mesures de sûreté II. Le fonctionnement des commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité II.1. La composition des « commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité » II.1.1. Les enjeux II.1.2. Les préconisations II.2. L’organisation des « commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité » II.2.1. Le statut juridique des commissions II.2.2. Le cadre d’intervention des « commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité » II.2.3. Les moyens de mise en Å“uvre des « commissions pluridisciplinaires d’évaluation de la dangerosité » TITRE 2 : TIRER TOUTES LES CONSEQUENCES D’UN CONSTAT DE DANGEROSITE Propos Liminaires : La Notion de Mesure de Surete I. Définition et origines de la notion II. Applications de la notion en droit positif III. Distinction des mesures de sûreté et des peines III.1. Les facteurs d’unité du régime des sanctions pénales III.2. Les facteurs d’autonomie du régime des mesures de sûreté Section 1 : L’imputabilité de l’infraction I. Rappel des préconisations de la Commission santé -justice II. Les préconisations adaptées aux projets de réforme de la procédure pénale Section 2 : Les conséquences de la décision d’imputabilité I. L’affirmation du principe de l’autonomie des champs de compétences et la nécessité d’articuler les décisions des autorités judiciaires avec celles des autorités administratives II. Le renforcement de la prise en charge sanitaire Section 1 : Les mesures en milieu ouvert I. Le suivi socio-judiciaire : état et préconisations I.1. Les préconisations de la « commission Santé - Justice » I.2. Les améliorations de la loi du 12 décembre 2005 I.2.1. L’extension du champ d’application du suivi socio-judiciaire I.2.2. La modification du contenu du suivi socio-judiciaire I.2.3. Les préconisations II. Les innovations de la loi du 12 décembre 2005 II.1. La surveillance judiciaire II.1.1. Les préconisations de la Commission Santé - Justice II.1.2. La surveillance judiciaire instaurée par la loi du 12 décembre 2005 II.2. Le placement sous surveillance électronique mobile II.2.1. Les préconisations de la Commission Santé - Justice II.2.2. Le placement sous surveillance électronique mobile dans la loi du 12 décembre 2005 c. L’exécution de la mesure III. La création d’une mesure de « suivi de protection sociale » III.1. La nécessité de créer une mesure de « suivi de protection sociale ». III.1.1. Une recommandation toujours d’actualité de la Commission Santé - Justice III.1.3. Les pratiques étrangères III.2. Nature et régime de la mesure de « suivi de protection sociale » Section 2 : En milieu fermé I. La prise en compte de la dangerosité et les peines privatives de liberté I.1. La prise en compte de la dangerosité au moment du prononcé de la peine I.1.1. La réclusion criminelle à perpétuité I.1.2. La période de sûreté I.2. La prise en compte de la dangerosité dans l’exécution de la peine I.3. La prise en compte de la dangerosité dans l’aménagement de la peine I.3.1. L’affirmation du principe I.3.2. L’étude d’un cas exemplaire : l’affaire Léger II. La création d’une mesure de sûreté en milieu fermé II.1. Les exemples étrangers II.1.1. Présentation des systèmes étrangers II.1.2. Observations générales II.2. La proposition de la Commission Santé - Justice : les C.F.P.S. II.2.1. Rappel de la proposition II.2.2. Les critiques II.3. La préconisation de la mission : une redéfinition du Centre Fermé de Protection Sociale II.3.1. Le Centre Fermé de Protection sociale dans son principe II.3.2. Nature et régime de la mesure de sûreté en milieu fermé CONCLUSION
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