Du sport pour faire baisser la pression
Défense de les questionner sans accord parental. Les adultes parleront donc pour eux - mais pas comme eux - de leur quotidien derrière les barreaux. Mardi dernier, cinquante-quatre mineurs étaient incarcérés au Centre des jeunes détenus de Fleury-Mérogis. Quatre ont moins de seize ans. Plus lourde condamnation : huit ans. Pour encadrer ces jeunes pas comme les autres, vingt-deux surveillants dont trois femmes, tous volontaires. Leur tenue réglementaire (...)