14600 articles - 12260 brèves

Tous les articles

  • "Perte..." (18 août 1980)

    21 février 2003

  • Ces murs de prison, Ces barrières à l’horizon, Ces siècles de mensonges, Que rien n’éponge ; Cet obstacle immuable Le temps qui passe, imperturbable… Mes souvenirs qui s’effacent, Mes os qui, peu à peu, se glacent. Cette séparation prolongée, Qui me fait t’oublier… Toi, ma raison de vivre, Celle de poursuivre, Ce vent dans mes cheveux, Ce soleil dans mes yeux, Cette joie qui était mienne, Cette joie déjà ancienne… Maintenant, la longue attente, Cet espoir qui me hante : Vais- te retrouver Toi, Ma Liberté (...)
  • "Prisonnier de la solitude (Isolé du monde...)" (15 mai 1986)

    21 février 2003

  • SILENCE… PLUS RIEN NE BOUGE ! Un temps mort où rien n’existe. Noir existentiel poignant Isolé, on s’enlise, s’enfonce… La gorge nouée, paralysée, On crie sa pensée avec les yeux Exorbités, saillants, injectés Du sang glacé qui déchire Les veines tendues, comme… Cordes d’une harpe maléfique. Seul le souffle de la peur Gonfle les poumons d’un air Empoisonné de haine palpable. l’Ange Déchu
  • "Entropie" (31 décembre 2001)

    21 février 2003

  • Dans cette misère affective, à quoi sert d’être amoureux ? Cela ne me rend même pas plus heureux... Just fallen in LOVE The Decay : it’s all quite above ! Ce sentiment ne serait qu’entraves ?! on se sent prisonnier, esclave... pour être libre, faut-il être insensible ? Pour vivre vraiment, faut-il être insubmersible ? ****** Ma mémoire se vide et, est comme un écran noir, Sur lequel, je projette tous mes fols espoirs... Hélas, ils deviennent, de plus en (...)
  • "Brisure" (1er janvier 2002)

    21 février 2003

  • Résigné et submergé par l’écume des jours, Je ne suis, en retour, que brisure sans atour : "Pierre de Lune", poussière d’étoile... Je cherche, à travers le temps, au travers du voile, Un signe dans le vent, un présage savant... Je cours figé tel la glace sur l’étang dormant Voguant de souvenirs délavés en sensations inachevées... J’ai parcouru, dissolu, trop de chemins égarés, Trop épuisé mes yeux à la poudreuse des lieues... Armé d’une solide sollicitude pour ma solitude, Je me sens élevé au stade (...)
  • "Ton Amour, Mon arme" (9 décembre 2001)

    21 février 2003

  • Je ne vis pas dans un décors de série B, Mais, dans un univers hanté de fous frustrés Plus proches de l’Enfer que de l’Immortalité. Pauvres Âmes recluses en quête d’humanité ! - Loin d’être sevré d’espaces, de liberté, Je voyage sur les ondes de mes pensées, Construisant avec les vestiges du passé Des scènes folles aux plaisirs insoupçonnés Qui, au profond de l’Antre, me font ronronner... parfois les Horreurs de la conscience refoulée, Acérées, surgissent, prêtes à ma mutiler Mais par ton amour, tu (...)
  • "Retour sur Plutor" (5-6 décembre 2001)

    21 février 2003

  • Il y a un milieu, lieu commun d’air miteux Au coeur d’un cul-de-sac, loin de l’azur radieux... Chaque drame mesuré, vivement censuré Atteint la proportion d’une peine démesurée... Beaucoup cherchent à croire au savoir exutoire Où là, le moindre espoir serait douce source à boire, Oh, bien peu trouvent la paix, pour étouffer leur peur, Ou, ne goûtent la chaleur d’une parcelle de bonheur ! Isolés, oubliés, déracinés, sans droit, Où, même, dans leur folie, ils ne seront plus les rois, Couverts par (...)
  • "... A ma fenêtre," (15 juillet 1997)

    21 février 2003

  • Cri de détresse noyé au coeur de l’orage ! Gouttes de pluie, chasseresses, sur mon visage, Me découvrent, animal qsauvage, en rage, Sonnant sa hargne aux barreaux de sa cage. L’ondée de Mars abreuve ma colère, Et, ma folie passée me désespère... Je me cogne, débile, à la moralité et ses frontières. Il est trop tard, j’aurais dû, y penser naguère... Pour l’instant, je me noie dans les incertitudes Au point de céder, graduellement, à l’habitude. Mon imagination s’oppose à une mortelle anesthésie, Je (...)
  • "Prison d’Alexandrie" (mai-juin 1980)

    21 février 2003

  • Encore une journée qui vient de passer, Sans un fait important ne puisse la marquer Comm’sur un vieux tableau d’un portrait sans âge, Les jours passent et ont le même visage Comm’une photographie, une image C’est toujours le morne et triste paysage. Le temps ne laisse comme solides traces : une petite ride que rien n’efface une nouvelle croix sur chaque agenda ; Ce que je veux n’avance que d’un petit pas... Je me désespère mais il arrivera L’instant merveilleux où tu seras dans mes bras (...)