La loi du 25 février 2008 « relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d’irresponsabilité pénale » est entrée en vigueur. Le baroud médiatique soulevé par le président de la République lequel avait demandé au premier président de la Cour de cassation, M. Vincent Lamanda, de faire toutes propositions permettant néanmoins à la loi de rétroagir en matière de rétention de sûreté, et par Mme Dati qui, quant à elle, avait dit souhaiter y pallier par voie de décret ou de circulaire, était en réalité (...)