Le juge administratif a constaté que le détenu faisait l’objet de fouilles systématiques depuis son arrivée au Centre Pénitentiaire en 2010, alors pourtant qu’il ne présentait ni un comportement ni une dangerosité pouvant justifier pareille intrusion.
C’est la deuxième fois que le TA de Poitiers statue en ce sens, après une ordonnance de référé rendue le 25 janvier 2012 sur requête de l’Observatoire International des Prisons.