Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté préconise :
- que des les téléphones ne soient pas installés dans des emplacements de la prison empêhcant toute confidentialité (cours de promenade, lieux de passage etc.) ;
- que le nombre de numéros que la personne incarcérée peut enregistrée soit le même d’un établissements à l’autre ;
- que les personnes auxquelles la personne incarcérée peut téléphoner ne soient pas soumises à l’exigence préalable d’un permis de visite ;
- que les modalités d’octroi ne soient pas soumises à des contraintes administratives trop importantes et que tout mode de preuve soit accepté ;
- que les horaires d’accès au téléphone soient harmonisés d’une prison à l’autre et qu’il soit le plus large possible ;
- que l’administration pénitentiaire garantisse un égal accès au téléphone des personnes incarcérées ;
- que les communications à l’étranger pour des personnes étrangères soient facilitées en évitant la production de factures de téléphone etc. ;
- que les couples incracérés puissent s’appeller dans des conditions identiques avec un tiers extérieur car bien que privés de liberté ils disposent du même droit relatif à l’article 8 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales (même en place un système identique à celui des zones d’attente) ;
- les logiciels de téléphonie doivent être adaptés notamment en ce qui concerne les numéros en 0800 puisque actuellement ces appels ne sont pas possibles ;
- les téléphones portables pourraient être utilisés sous contrôle de l’administration, ce qui éviterait les infcations commises à cause et/ou à l’aide des téléphones portables.