B. Garantir le respect des droits fondamentaux
Le 6 mars 2000, au terme de ses travaux, la Commission animée par M. Canivet a considéré qu’" admettre que la peine d’emprisonnement a pour finalité la réintégration, dans la société, d’une personne condamnée induit une autre logique juridique, celle d’un détenu qui, à l’exception de la liberté d’aller et de venir, conserve tous les droits puisés dans sa qualité de citoyen, qu’il n’a pas perdue du fait de sa condamnation, mais aussi celle d’un lieu, la prison (...)