De la dénonciation de la récidive à une politique responsable d’aménagement des peines
L’enlèvement et le meurtre d’une femme dans l’Essonne, commis par un homme de 47 ans condamné à 11 ans de prison pour viol en 2002 mais libéré sous contrôle judiciaire en 2007, relance la polémique sur les façons de prévenir la récidive. Le ministre de l’Intérieur a déclaré que ce crime « aurait pu être évité » et que l’auteur « n’aurait jamais du être libéré ». Comme toujours, les juges sont montrés du doigt et l’accusation (...)