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  • « Ni vengeance, ni préméditation »

    6 mars 2006

  • Devant la juge d’instruction, hier, l’assassin présumé de Jacques Lerouge a retrouvé la parole pour réfuter la thèse de la préméditation et expliquer son geste. EPINAL. - Du mutisme à la parole libérée. Neuf jours après sa première présentation, Claude Gosselin s’est de nouveau retrouvé, hier, dans le bureau de la juge d’instruction spinalienne, Christelle Pouey-Santalou. Après une cavale sans sommeil et quarante-huit heures de garde à vue, l’auteur présumé du meurtre de Jacques Lerouge n’avait pas eu la (...)
  • Hommage de Bernard Bolze

    6 mars 2006

  • En hommage à la disparition tragique de Jacques Lerouge, vieux frère, un homme, une photo signée Philippe Merchez, le 14 janvier à Lyon, pour Trop c’est trop, campagne pour le respect du numerus clausus en prison. Bernard Bolze
  • " L’ancien condamné à mort Jacques Lerouge tué à coups de couteau "

    6 mars 2006

  • L’ancien condamné à mort Jacques Lerouge, 65 ans, a été mortellement blessé à coups de couteau jeudi soir à Charmes (Vosges), par un habitant d’Epinal âgé de 57 ans qui s’est enfui dans la nuit, apprend-on auprès de la gendarmerie, vendredi. Une violente dispute venait d’éclater dans la maison de réinsertion pour anciens détenus de Charmes, lorsque le protagoniste a entraîné dehors Jacques Lerouge pour le poignarder à plusieurs reprises dans le thorax. Un proche de Lerouge a été blessé en voulant le (...)
  • « L’agresseur garde le silence »

    6 mars 2006

  • Déféré hier au parquet spinalien, Claude Gosselin, tueur présumé de Jacques Lerouge, a refusé d’expliquer son geste. Mis en examen pour assassinat, il a été placé en détention. EPINAL. - « Après une nuit de cavale et deux jours de garde à vue, mon client est dans un état de fatigue extrême. Il ne sait même plus quel jour nous sommes. Il n’était pas physiquement en état d’expliquer son geste », indiquait hier soir Me Valérie Krebs, à la sortie du palais de justice spinalien. Devant la juge d’instruction (...)
  • « Il s’estimait maltraité, exploité »

    6 mars 2006

  • Placé en garde à vue à Epinal, le tueur présumé de Jacques Lerouge, aurait agi par vengeance. Il sera déféré cet après-midi au parquet spinalien. EPINAL. - « Il s’estimait maltraité, exploité », explique la substitut du procureur d’Epinal, Delphine Jabeur. Durant les premières heures de sa garde à vue - prolongée hier soir -, le meurtrier présumé de Jacques Lerouge, n’a pas souhaité être assisté d’un avocat. Il s’est borné hier à répéter ce qu’il avait déjà expliqué aux enquêteurs la veille. A savoir qu’il (...)
  • « Un vrai travail de suivi »

    6 mars 2006

  • Claude Grivel, maire de Messein et membre du conseil d’administration de l’association créée par Jacques Lerouge, revient sur ses missions. Vous étiez très proche de Jacques Lerouge qui avait débuté sa réinsertion à Neuves-Maisons. Il avait créé l’Aperi . Quel était son objectif ? L’association effectue un vrai travail de suivi et d’accompagnement des personnes avant leur sortie de prison pour bien l’organiser et par la suite pour assurer leur réinsertion sociale, personnelle et professionnelle. A (...)
  • « Le fugitif interpellé »

    6 mars 2006

  • Le meurtrier présumé de Jacques Lerouge, poignardé jeudi soir à Charmes, était en liberté conditionnelle depuis décembre 2005. Il a été arrêté hier à Epinal. EPINAL. - Alors que Delphine Jabeur, substitut du procureur d’Epinal, assistait hier à l’autopsie de Jacques Lerouge, qui a révélé de nombreuses blessures par arme blanche dont un coup mortel porté au coeur, son meurtrier présumé était arrêté au centre ville d’Epinal par le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie. Le drame s’est (...)
  • « L’homme aux deux vies »

    6 mars 2006

  • Condamné à mort, incarcéré pendant dix-sept ans, Jacques Lerouge a consacré son existence d’homme libre à la réinsertion des détenus. NANCY. - L’horloge biologique de Jacques Lerouge s’était arrêtée pour toujours à 5 h 30 du matin. L’heure à laquelle le bourreau vient chercher le condamné à mort pour l’emmener vers la guillotine. Pendant quatre-vingt-douze jours, en 1971, le détenu Lerouge a connu cette angoisse, dans sa petite cellule spécialement aménagée pour lui à la maison d’arrêt de Rouen, surveillé (...)
  • « Un ancien condamné à mort poignardé »

    6 mars 2006

  • Jacques Lerouge, réinséré modèle, avait consacré sa vie aux sortants de prison. Malicieusement, Jacques Lerouge, ancien condamné à mort, disait de lui-même : « Je suis la plus belle plaidoirie contre la peine de mort. » Jeudi, à Charmes, dans les Vosges, plusieurs coups de poignard ont mis fin à 65 ans d’une vie extraordinaire. Condamné à mort pour meurtre en 1971, gracié, sorti en libération conditionnelle après dix-sept ans de prison, Jacques Lerouge avait ensuite consacré sa vie à la réinsertion des (...)
  • « Un ancien condamné à mort assassiné » (2)

    6 mars 2006

  • Le tueur présumé de Jacques Lerouge, reconverti dans la réinsertion des ex détenus, devait être présenté dimanche au parquet d’Epinal. Le tueur présumé de Jacques Lerouge, un ancien condamné à mort reconverti dans la réinsertion des ex détenus, devait être présenté dimanche 19 février au parquet d’Epinal, à l’issue de sa garde à vue, a-t-on appris samedi de source judiciaire. L’homme, âgé de 50 ans, au lourd passé judiciaire, est soupçonné d’avoir porté neuf coups de couteau à la victime, jeudi vers 19h00, à (...)
  • « Un ancien condamné à mort assassiné » (1)

    6 mars 2006

  • Jacques Lerouge, 65 ans, a été tué à coups de couteau jeudi soir dans les Vosges, devant une maison de réinsertion pour anciens détenus. L’ancien condamné à mort Jacques Lerouge, 65 ans, a été mortellement blessé à coups de couteau jeudi soir 16 février à Charmes (Vosges), par un habitant d’Epinal âgé de 57 ans qui s’est enfui dans la nuit, apprend-on auprès de la gendarmerie, vendredi. Une violente dispute venait d’éclater dans la maison de réinsertion pour anciens détenus de Charmes, lorsque le (...)